En tout, les mesures ont touché 50 000 m² de locaux de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’environnement, soit 60 % du campus. Résultat : environ 300 000 $ d’économies par année en coûts de chauffage, selon Jérôme Conraud. « Mais la mise en service se poursuit, et nous allons économiser plus à mesure que nous optimisons la configuration », dit le gestionnaire. Des économies non négligeables, sans oublier les subventions de départ de 90 000 $ pour l'implantation de mesures efficace et de 45 000 $ pour la remise au point des systèmes mécaniques.
« Même sans les subventions, nous aurions opté pour le gaz naturel car après une étude approfondie de différents scénarios, un réseau d’eau chaude à basse température alimenté au gaz naturel s’est avéré être la solution la plus logique. Le gaz naturel est abordable, et il peut se combiner facilement à des sources renouvelables comme le solaire et la géothermie, que nous comptons développer dans l’avenir », poursuit-il.
« Énergir nous a beaucoup accompagnés dans ce projet, tant du côté de l’équipe des ventes pour l’optimisation de notre gestion de comptes, que du groupe DATECH pour le soutien technique et la recherche de subventions. »
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